SOCOMEC : Dossier de presse
Socomec, 100 ans d'énergie partagée
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Accéder au Press kitPremière étincelles
1922
Le levier de croissance. Joseph Siat se lance dans la fabrication d’interrupteurs à levier, de coupe-circuits à lamelles, d’isolateurs en porcelaine, de sonnettes… Il installe son atelier dans son abri de jardin à Benfeld : il vient de créer la Société des Ateliers de Construction Electro-Mécanique du BasRhin. Grâce à un partenariat avec Électricité de Strasbourg, l’entreprise se développe en même temps que l’électrification progressive du territoire et réalise ses premières ventes dans la « France de l’intérieur.
1930
La filière houblon. L’appentis est devenu trop petit : l’entreprise s’installe dans un ancien bâtiment à houblon transformé en usine, toujours à Benfeld.
1968
La révolution des onduleurs. Comment faire face aux risques que peut faire peser une interruption brutale du courant électrique sur les installations critiques ? Réponse : l’onduleur. Tout d’abord importés de Suisse, ils sont fabriqués à Benfeld quatre ans plus tard.
1970
Usine bis. Une deuxième usine est construite à Benfeld.
1945
Joseph Siat décède. Ses fils, Pierre et Maurice, prennent la relève. La production se spécialise : inverseurs de source, transformateurs, coupecircuits à haut pouvoir de coupure…
1948
Premières avancées sociales : le rendement individuel est remplacé par une prime collective et le premier comité d’entreprise est constitué.
1953
Changement de nom : la Société des Ateliers de Construction Electro-Mécanique du Bas-Rhin devient Socomec. L’intéressement au gain de productivité est mis en place, ainsi que la première section syndicale.
1965
L’heure est aux essais. Socomec crée à Benfeld un laboratoire : c’est le 2ème laboratoire privé français de puissance électrique. L’entreprise peut dès lors accompagner le développement technique de ses produits et vérifier leur conformité avec les normes nationales et internationales.
1960
A nous deux, Paris ! L’industriel alsacien installe sa première agence commerciale à Paname. Et l’entreprise poursuit ses avancées dans la spécialisation autour de l’interrupteur : armoires, tableaux, pupitres de commande…
1974
Une star est née. Socomec lance l’interrupteur Sirco : c’est le premier interrupteur industriel compact en boîtier polyester moulé. Il connaîtra un grand succès et contribuera fortement au développement de l’entreprise. La première filiale internationale est créée en Belgique.
1982
Usine ter. Construction d’une troisième usine à Benfeld.
L'énergie collective
1989
Troisième génération. Trois des petits enfants du fondateur prennent la direction de l’entreprise : Jacques et Benoît Siat, ainsi que Bernard Steyert, qui en devient le PDG
1991
La touche artistique. L’entreprise met en place une politique de soutien à l’expression artistique sous toutes ses formes. Presque chaque année, un évènement est dorénavant organisé dans les ateliers : concerts, expositions, commandes d’œuvres artistiques…
2012
Énergie en stock. Grâce à la combinaison de ses différentes expertises (coupure, mesure, conversion d’énergie et services associés), Socomec propose de nouvelles solutions innovantes de stockage d’énergie et s’inscrit comme un acteur majeur.
2010
Quatrième génération. Ivan Steyert est nommé PDG de Socomec. L’indépendance de l’entreprise et sa vision à long terme restent au cœur de la stratégie du groupe.
2014
L’énergie du service. Socomec créée E’nergys, une nouvelle branche de services digitaux pour accompagner la transition énergétique : audit, conseil, ingénierie et services numériques. Une complémentarité exemplaire se met ainsi en place dans la chaîne de valeur proposée aux clients des deux entités.
2015
Tesla a son labo. Le Tesla Power Lab, nouveau laboratoire d’essais de Socomec, d’une superficie de 2.000 m², est accrédité en tant qu’organisme certificateur (Certification Body Test Lab) par le Comité International IECEE. C’est la reconnaissance d’une expertise technologique pointue et d’une organisation sans faille.
1992 - 2012
La taille mondiale. Socomec accélère sa mondialisation et implante des f iliales sur ses marchés porteurs : Allemagne, Espagne et Inde (1992), Italie (1995), Angleterre (2013), Thaïlande (1996), Chine (1997), Slovénie et Singapour (1998), Viêt-Nam et Pays-Bas (2002), Australie (2009), Roumanie (2010), Pologne et Turquie (2012)…
1992
La mesure en toute chose. Après la coupure et la conversion d’énergie, Socomec intègre une nouvelle expertise : la centrale de mesure Diris va devenir un standard du marché
1994
Sur le pont du Charles de Gaulle. Déjà présente au sein des applications les plus critiques (santé, armée, centre de données, industrie...), Socomec est sélectionnée pour équiper le porte avion nucléaire Charles de Gaulle avec ses convertisseurs de fréquence. La même année, le capital de l’entreprise est ouvert aux salariés.
L'énergie positive
2003
Commutateur modulaire. ATyS et son nouveau concept de commutation modulaire positionne Socomec comme un des leaders mondiaux dans ce domaine. La même année, une nouvelle usine est installée en Tunisie, aux standards techniques et sociaux européens, pour assurer la compétitivité des produits de grande diffusion du groupe.
2000
Onduleur convivial. Grâce à sa technologie innovante (transistors de puissance IGBT) et son tableau de bord convivial, l’onduleur Delphys DS devient vite une référence sur son marché
1998
Sauce italienne. Sicon, entreprise italienne spécialiste des onduleurs de petites et moyennes puissances, rejoint le groupe Socomec. L’offre d’onduleurs est désormais la plus complète du marché.
L'énergie infinie
2017 - 2019
Sauce américaine. Après l’acquisition des entreprises industrielles CCS à Denver (2017), Powersmiths à Toronto (2018) et Boltswitch à Chicago (2019), Socomec a désormais les moyens de ses ambitions sur un marché nord-américain très en demande de ses solutions techniques.
2020
L’innovation en pôle. Au siège de l’entreprise, à Benfeld, tous les acteurs de l’offre sont regroupés dans un nouveau bâtiment pensé comme un écosystème dynamique au service de l’intelligence collective : le Pôle Innovation. De quoi réactiver et amplifier la différenciation qui fait le succès de Socomec.
2022
Cent bougies électriques. Le groupe Socomec sort renforcé des épreuves de la crise sanitaire mondiale. Il a fait la démonstration de la capacité d’engagement et d’adaptation de ses équipes qui constituent la principale richesse de l’entreprise.
L'ancrage Alsacien
Tout est parti de Benfeld, petite ville de la prospère plaine d’Alsace, à proximité de Sélestat, où naquit, il y a quelques siècles, l’humanisme rhénan.
Depuis lors, l’entreprise familiale est toujours restée fidèle à ses racines alsaciennes. Après la première usine de l’entre-deux guerre, deux nouvelles usines sont construites toujours à Benfeld (1970 et 1982), ainsi que le laboratoire d’essais (1965), deuxième du genre en France, le Tesla Power Lab (2015) et le Pôle Innovation (2020).
Et aujourd’hui, le modèle rhénan continue d’inspirer largement le fonctionnement et la gouvernance de l’entreprise : que de chemin parcouru depuis la création du comité d’entreprise en 1948 jusqu’à la mise en place d’une RSE très ambitieuse en ce début de 21ème siècle.
Socomec, c'est un art de vivreWissam Riad, Directeur Moyen-Orient - Afrique - Turquie
Le rayonnement international
Cela a commencé - presque modestement - par des filiales et des bureaux commerciaux implantés d’abord en France, puis un peu partout dans le monde. Et cela s’est poursuivi par des rachats stratégiques de concurrents en Europe et en Amérique du Nord notamment. Des opérations de croissance externe qui permettent d’accélérer l’implantation commerciale sur ces nouveaux territoires et de créer de nouvelles synergies en intégrant des compétences déjà maitrisées.
Coupure, conversion, mesure, stockage sont à la source de la transition énergétique partout à l’œuvre aux quatre coins du monde. Socomec est dorénavant aux premières loges pour participer à la grande aventure d’un autre monde possible… et souhaitable.
Les produits et les services Socomec sont commercialisés dans 80 pays par plus de 100 distributeurs. Le groupe compte 28 filiales dans le monde et 12 sites de production (5 en Europe dont 3 en Alsace, 1 en Tunisie, 1 en Inde, 2 en Chine, 3 en Amérique du Nord).
Au fil des évolutions, le groupe s’est imprégné des différentes cultures, s’est enrichi de tous les échanges. C’est assez remarquable. Cela permet aujourd’hui d’être bien implanté en Inde, en Chine, en Australie, en Thaïlande, à Singapour, en Amérique du Nord.Michaël Rosfelder, Directeur site de production de Chicago